« Marc Limousin entend des bruits.
Des choses. Murmures de souvenirs…
Il voit la pierre, l’idée de la pierre dans la pierre sur le sol qui ondule.
Le crac du gel. La branche tombée à terre lui parle de l’arbre : le premier arbre.
Le temps court dans l’eau froide et souple ; Marc plonge la main et dessine l’histoire naturelle.
Le langage d’origine. La vibration qui nous anime tracée par l’éclair devant nos yeux.
Musique visuelle de la mémoire collective.
L’inconscient à portée de vue.
Et toc… »
Alain Boulivet.